Tu m'irradieras encore longtemps... bien après la fin
THIEVET
thirty-five
Samedi 25 septembre 2010 à 2:05
Tu m'irradieras encore longtemps... bien après la fin
Vendredi 24 septembre 2010 à 1:10
J'ai du mal à me faire à l'idée que pour avancer, il me faut perdre, un à un,
les rares êtres qui m'inspirent et que j'aime.
Malheureusement, je fais toujours à peu près n'importe quoi avec ceux qui me touchent le plus..
Je perds complètement mes moyens. Car les êtres qui comptent sont souvent ceux là même
qui bousculent, qui renversent en moi toutes ces choses qui tenaient fébrilement en équilibre..
Quelque part, ils m'amènent soudainement à me déterminer face à moi-même.
Je perds mon sang froid, les choses s'affolent. Je ne sais plus sur quel pied danser.
Il me faudrait du temps pour retomber sur mes pattes et leur donner enfin
tout ce qu'ils m'inspirent de beau..
Seulement voilà, je m'enlise toujours plus, et je les vois qui s'éloignent
doucement mais surement..
Et puis un triste jour ils disparaissent bel et bien au bout de l'horizon..
Parfois, je les entends, je les aperçois rire dans le lointain avec d'autres..
J'aurais aimé vivre tellement plus de belles choses en leur compagnie.
J'envie, je jalouse un peu ceux qui ont su mieux que moi trouver les mots justes, les bons gestes..
Alors si on apprend fatalement beaucoup de ces déchirures,
j'aimerais bien ne pas arriver au bout de mon apprentissage pour constater
que ces relations pour qui j'ai appris à vivre,
je les ai perdues à tout jamais..
les rares êtres qui m'inspirent et que j'aime.
Malheureusement, je fais toujours à peu près n'importe quoi avec ceux qui me touchent le plus..
Je perds complètement mes moyens. Car les êtres qui comptent sont souvent ceux là même
qui bousculent, qui renversent en moi toutes ces choses qui tenaient fébrilement en équilibre..
Quelque part, ils m'amènent soudainement à me déterminer face à moi-même.
Je perds mon sang froid, les choses s'affolent. Je ne sais plus sur quel pied danser.
Il me faudrait du temps pour retomber sur mes pattes et leur donner enfin
tout ce qu'ils m'inspirent de beau..
Seulement voilà, je m'enlise toujours plus, et je les vois qui s'éloignent
doucement mais surement..
Et puis un triste jour ils disparaissent bel et bien au bout de l'horizon..
Parfois, je les entends, je les aperçois rire dans le lointain avec d'autres..
J'aurais aimé vivre tellement plus de belles choses en leur compagnie.
J'envie, je jalouse un peu ceux qui ont su mieux que moi trouver les mots justes, les bons gestes..
Alors si on apprend fatalement beaucoup de ces déchirures,
j'aimerais bien ne pas arriver au bout de mon apprentissage pour constater
que ces relations pour qui j'ai appris à vivre,
je les ai perdues à tout jamais..